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il y a 6 ans
Je profitais comme chaque année de la petite maison de vacances de mes parents dans le Jura, un petit chalet entouré de verdure où je pouvais profiter du calme des montagnes. J’avais proposé à une amie de venir me rejoindre afin de lui changer un peu les idées. Elle en avait besoin, après une rupture difficile elle était au bout du rouleau.
En attendant son coup de fil, je me délassais au soleil en me disant que je pouvais bien abandonner mon maillot de bain étant protégée par une haie de thuyas assez haute. Je n’hésitais pas longtemps et mon maillot s’est retrouvé bien vite à côté de la serviette où je ne tardais pas à m’assoupir. Réveillée par la sonnerie de mon portable, je n’ai pas réalisé que j’étais entièrement nue et j’ai couru vers la terrasse du chalet où mon mobile se trouvait. Ce n’est qu’au moment de décrocher que je constatais ma nudité dans le reflet de la porte fenêtre. Bredouillant quelque chose du genre "un instant s’il vous plaît" je me faufilais à l’intérieur.
C’était Anne, m’informant de son arrivée pour le surlendemain, elle voulait savoir si je pouvais la chercher à la gare de Pontarlier, ce qui lui éviterait des correspondances à répétition. Je lui confirmai ma venue en me disant que j’en profiterai pour faire quelques courses. Après avoir raccroché, j’étais toujours nue et me disais que ce n’était pas si désagréable de se promener comme ça. J’avais jusque là jugé les nudistes comme des pervers en puissance, mais je n’avais alors jamais ressenti cette liberté. Ce n’était pas la première fois que je faisais du bronzage intégral à l’abri de la haie, je n’étais donc pas particulièrement pudique, mais il est vrai qu’au moindre bruit je sautais prestement dans mon maillot.
Il faut dire qu’ici, il n’y a que peu de passage, le chemin qui mène au chalet n’est quasiment jamais fréquenté par les promeneurs qui utilisent le GR qui contourne le petit hameau avoisinant. Je décidais donc de rejoindre ma serviette sans me couvrir. C’était assez bizarre comme sensation, la première fois n’étant pas consciente de ma nudité, je ne m’étais pas rendue compte que la distance était aussi importante, il fallait effectivement contourner le massif de fleurs situé devant la terrasse. Regardant dans tous les sens, je me disais que j’étais un peu dingue de me promener comme ça. Si jamais il y avait des promeneurs, s’ils me voyaient ? Une fois allongée sur ma serviette et quelque peu rassurée, je me disais qu’il fallait vraiment que d’éventuels promeneurs s’amusent à regarder à travers les lattes du portail pour m’apercevoir et qu’après tout je faisais ce qui me plaisait.
Le soleil tapait dur et après avoir remis de la crème solaire, je tentais de me rendormir. Mais je n’avais pas sommeil, rien à faire, je ne voulais pas l’admettre, mais cette situation m’avait excitée. Je décidais de me lancer un défi, aller au chalet, chercher un verre d’eau fraîche et revenir, mais cette fois-ci sans me dépêcher ! Je me demandais ce qui me passait par la tête, mais j’étais déjà debout et je m’apprêtais à contourner le massif de fleurs. Me dirigeant vers la terrasse, j’avais l’impression que toutes mes terminaisons nerveuses étaient hypersensibles, je sentais la caresse du soleil, la légère brise, les petits gravillons, les planches disjointes de la terrasse…
Une fois dans la cuisine, j’ouvrais le frigo pour prendre une bouteille d’eau et là je ressentais un froid intense, le contraste v i o l ent de température était comme un coup de fouet. Je refermais la porte pour remplir un grand verre d’eau et replaçais la bouteille au frais. Le verre à la main j’allais encore plus doucement pour ne rien renverser, et je ne pouvais pas non plus regarder autour de moi. Cette sensation de liberté et en même temps de légère inquiétude me titillait.
Une fois allongée, je repensais à tout cela et posais ma main sur mon ventre. Elle était glacée, à la même température que l’eau du verre mais la sensation était vraiment agréable. Je remontais vers mes seins pour caresser mes tétons qui ne tardèrent pas à pointer. J’aime beaucoup me caresser les seins, agacer mes tétons, lorsqu’un amant me lèche les aréoles, je fonds littéralement. Trempant mes doigts dans l’eau glacée, je continuais à me caresser les seins en pinçant les bouts et en les tournant légèrement, avec le froid ça faisait presque mal, mais c’était tellement bon… Inévitablement ma main gauche s’est posée sur mon sexe pour le masser doucement, je soupirais en me demandant si on pouvait m’entendre.
J’étais trempée, mon index ne tarde pas à titiller mon petit bouton qui ne demandait que ça, puis enfin, je glissais un doigt entre mes lèvres brûlantes. Les jambes écartées, je continuais d’une main à me triturer les seins et de l’autre me masturbais comme une folle, introduisant deux puis trois doigts dans mon sexe. Me retournant je me mis sur les genoux et continuait à me donner du plaisir en agaçant mon clito, je léchais mes doigts mouillés de cyprine, je ne contrôlais plus rien et j’explosais la tête enfouie dans ma serviette.
Malgré ce plaisir intense, je restais sur ma faim et tentait d’analyser la raison de mon excitation. Je me souvenais des fois où un de mes amants me bandait les yeux avant de me faire l’amour, les sensations étaient alors très fortes aussi, il m’avait fait découvrir des plaisirs jusqu’alors inconnus en m’attachant parfois les poignets avec un foulard.
Rien à voir avec une relation de soumission, il s’agissait vraiment de prendre davantage conscience de son corps et de son plaisir. Nous nous étions quittés bons amis et il m’avait offert des boules de geisha que je n’avais jamais utilisées. Je me demandais quel effet ça faisait de se promener avec ces boules en moi et me disais que c’était peut-être l’endroit idéal pour les essayer. Je téléphonais à Anne, lui demandant de passer chez moi pour prendre la petite trousse de toilette dans laquelle je les avais rangées. Espérant qu’elle ne serait pas trop curieuse et n’irait pas voir tout au fond…
Après une nuit assez agitée, je décidais de passer la journée entièrement nue, enfin dans la mesure du possible… Après un brin de toilette, je m’aperçus que je n’avais plus de pain, je ne pouvais bien sûr pas aller ainsi chez le boulanger, je passais donc rapidement un string, une robe légère et des sandales à lacets et enfourchais mon vélo. La boulangerie n’était pas loin et je ne tardais pas à me remettre en chemin avec quelques victuailles. Une fois sortie du hameau, je remarquai que ma robe était très sensible aux courants d’air et m’expliquait le regard ravi des jeunes promeneurs que je venais de croiser. Mais cela ne me choquait pas, au contraire, je me disais qu’après tout j’étais bien foutue et qu’il était agréable d’être appréciée ainsi.
Une fois arrivée au chalet, comme promis plus tôt, je me débarrassais de mes vêtements et rangeais mes provisions en attendant que le café chauffe. Je n’avais jamais pris de petit-déjeuner nue, mais je me disais d’ores et déjà que je retenterais l’occasion souvent. Le contact du banc de bois sur mes fesses, mes cuisses était nouveau. Ecartant légèrement les jambes, je sentais le contact du bois un peu rugueux avec mon sexe et c’était une sensation étrange, je commençais à me frotter sur le ban oubliant mon petit déjeuner pour me caresser. Allongée sur le ban je me masturbais en m’imaginant qu’un promeneur entendait mes soupirs de plus en plus forts. Après un orgasme incroyable, je me sentis un peu honteuse, étais-je devenue une exhibitionniste ? Le sexe m’avait toujours intéressée et j’étais loin d’être prude, mais là, il me semblait que je passais la vitesse supérieure.
Une fois calmée, je décidais de partir faire une balade pour me changer les idées et tuer le temps. Vêtue d’un petit short, d’un simple T-shirt, je pris mon balluchon et chaussais mes baskets. La région ne manquait pas de sentiers et sous ce soleil, la forêt procurait une fraîcheur bienvenue. Je ne tardais pas à rejoindre des petits chemins que je connaissais depuis mon e n f a n c e . Tout était calme, seul le bruit du vent dans les arbres et les oiseaux troublaient le silence. Après une bonne heure de marche je m’arrêtais pour grignoter un peu, mon petit déjeuner ayant été écourté par mes "pulsions"…
Cette balade me faisait du bien, je ne pensais plus vraiment à ma journée d’hier et à ma matinée. Une fois repartie, je tentais de retrouver un petit bras de rivière où je me baignais quand j’étais e n f a n t . Ma mémoire était bonne et je retrouvais cet endroit facilement. Ici aussi, tout était calme, le bruit de l’eau était apaisant, je me disais qu’il était dommage que je n’aie pas emmené de maillot de bain. J’aurais pu profiter de la fraîcheur de ce petit torrent. Et puis finalement, je me dis qu’ici, je n’avais jamais vu personne et que je ne risquai rien à quitter mes vêtements.
Une fois de plus je me retrouvais nue, retrouvant cette sensation agréable. Je plongeais dans l’eau froide et barbotais dans l’eau lorsque j’aperçus sur l’autre rive, les deux promeneurs de ce matin se dirigeant vers la petite anse faisant face à l’endroit où j’avais laissé mes affaires. Ils riaient de bon cœurs et ne semblaient pas m’avoir aperçue. Par contre si je sortais de l’eau, il ne manqueraient pas de me voir, je restais donc accroupie dans l’eau espérant qu’ils passeraient leur chemin. Malheureusement, ils connaissaient manifestement "mon" anse et posèrent leurs affaires. Ils ne m’avaient toujours pas vue et en sortant une gourde de leur sac à dos, l’un des deux jeunes me fit un signe de la main. Auquel je répondis, un peu gênée quand même, bien qu’il ne puisse se rendre compte de ma nudité.
S’avançant au bord de l’eau, il me demanda :
— Elle est bonne ? Vous êtes courageuse, elle doit être un peu froide !
— Non non, ça va, il faut y aller progressivement…
— Vous êtes du coin ? Peu de gens connaissent cet endroit et il n’est pas indiqué sur les itinéraires de randonnée.
— Oui je viens souvent en vacance ici. Et vous ?
— Nous on est originaires du coin, mais on est au lycée à Ponta, alors on fait un petit retour aux sources !
Son copain, jusque là resté sur la plage s’approcha, après avoir enlevé ses grosses chaussures il trempa ses pieds dans l’eau.
— On est cons d’avoir oublié nos maillots sinon, on aurait pu piquer une tête ! Pourtant on savait qu’on passerait par là en plus !
Je commençais à me sentir un peu mal à l’aise, et aussi j’avais un peu froid maintenant. Je ne savais pas trop quoi leur dire mais je ne pouvais plus rester dans l’eau comme ça.
— Excusez-moi, mais en fait je suis toute nue, vous pourriez vous retourner pour que je puisse sortir de l’eau et passer mes vêtements ?
Rouge comme une tomate, le premier bafouilla qu’il n’avait pas du tout remarqué et qu’il était désolé. Sur ce, ils se retournèrent vivement. Rassurée d’être tombée sur des jeunes sympas, je quittai l’eau et enfilais un string et mon t-shirt.
— Merci, vous êtes sympas ! Je commençais à avoir froid !
— Pas de quoi, on voulait pas vous déranger.
— Vous ne me dérangez pas, simplement j’avais tellement envie de me baigner que je n’ai pas résisté ! Sinon, je m’appelle Fabienne.
— Moi c’est Fred.
— Et moi Quentin !
Pour éviter de parler plus fort, je décidais de traverser le bras de rivière et me retrouvais à côté d’eux, au soleil assise sur l’herbe. La chaleur du soleil était agréable, car mon T-shirt était mouillé. Je me mis à penser à l’état de ma poitrine que le froid fait réagir de façon assez visible. Effectivement mes tétons pointaient sous mon T-shirt t j’essayais de masquer ma poitrine en croisant mes bras. Quentin, rougit un peu, il devait sûrement s’être rendu compte de mon état, mais ne le mentionna pas. Nous discutions maintenant des balades, des vacances et nous passions un bon moment.
Soudain Fred dit, j’ai vraiment trop envie de piquer une tête, moi j’y vais en caleçon et ceux qui veulent me suivent ! Joignant le geste à la parole il commença à se déshabiller. Quentin semblait moins enclin à se baigner, quant à moi, je me demandais comment je pouvais faire. Après tout j’avais déjà fait du topless à la plage… je retirais donc mon t-shirt et sautais dans l’eau. Quentin changeait de couleur, son ami, était peut-être moins "coincé" et m’éclaboussait en riant. Nous nous amusions comme des fous et Quentin se joignit finalement à nous.
Une fois sortis de l’eau, je constatais que mon T-shirt n’était pas tout à fait sec et je décidais de rester en string. Fred et Quentin avaient passé leur short et faisait sécher leurs caleçons sur une pierre. Cette fois-ci Fred n’était pas aussi à l’aise et évitait de me regarder. Cette situation m’amusait, et je ne me sentais pas du tout gênée.
— Soyez pas timides, vous n’avez jamais vu de fille à poil ?
— Ben si, mais t’es drôlement jolie et ça fait bizarre…
— C’est vrai, on se connaît presque pas et on te voit presque nue, comme ça…
— Surtout que mon string ne cache pas grand chose !
— Oulala… arrête, sinon on va te sauter dessus fit Fred en riant !
Je leur faisais confiance, c’est peut-être pour ça que je n’étais pas du tout inquiète de la tournure que prenait la situation.
— Franchement à vous voir, je pense que vous n’avez jamais vu une femme entièrement nue, je me trompe ?
— Ben, euh
Je me levais alors, et devant eux, je baissais mon string en les regardant dans les yeux. Ils ne savaient plus trop quoi faire, ni où regarder et je les rassurais :
— Vous savez, vous devriez en profiter…
Je voyais une bosse déformer leurs pantalons et j’étais franchement excitée par la situation. Je n’avais jamais fait l’amour avec deux hommes et cette perspective me plaisait. Je me caressais les tétons, bombant la poitrine.
— Regardez comme c’est sensible, ils sont tout durs.
Fred s’approcha et me demanda s’il pouvait les embrasser, pour réponse je lui tendis ma poitrine et aussitôt il m’embrassa les tétons en jouant avec la langue sur mes aréoles. Il était doué et je commençais à soupirer. Son copain se mit à me suçoter l’autre sein et glissa sa main entre mes cuisses.
Il me caressèrent pendant un bon moment, m’embrassant les seins, titillant mes tétons. Mais cela ne me suffisait pas :
— Vous vous occupez aussi de mon petit minou ? Il adore ça !
Ils ne se firent pas prier et je sentis rapidement des coups de langue un peu maladroits mais qui me faisaient mouiller de plus en plus.
N’y tenant plus je leur dis de quitter leurs shorts s’ils ne voulaient pas exploser leurs braguettes. Quelle surprise, deux belles queues, tendues comme des mats. Je leur dis de se mettre debout devant moi, et je m’agenouillais pour les prendre dans ma bouche à tour de rôle. Je léchais leurs bourses, branlait leur sexe, je devais avoir l’air de la pire des nymphomanes ! Je leur disais que leur bite était bonne et que j’adorais les sucer, que je voulais qu’ils me baisent…
Fred, soudain me dit, attention, fais gaffe, et retira sa bite de ma bouche. Il était vraiment sympa de me prévenir, surtout que je n’aimais pas avaler, mais cette fois-ci, je ne sais pas ce qui s’est passé mais j’ai repris son sexe en bouche et j’ai continué à le sucer. Il a éjaculé rapidement, de longs jets de foutre chaud me remplissaient la bouche. En ayant avalé un peu je me disais que c’était finalement très bon et j’avalais le tout et nettoyais tout le sperme qui restait sur le sexe de Fred. Ensuite, allongée dans l’herbe, je demandais à Quentin de me pénétrer. Il me répondit qu’il n’avait pas de préservatif et qu’il ne pouvait pas.
Fred avec un grand sourire, partit chercher sa trousse de secours et tendit à son ami un petit sachet. Quentin ne se fit pas prier, et une fois protégé il commença à me limer. Je le guidais pour l’économiser un peut et en profiter le plus longtemps possible. Fred, à nouveau au garde à vous me tendit sa queue que j’embouchais voracement. C’était formidable, ces deux sexes pour moi, le contact de l’herbe sur mon corps, c’était incroyable et je ne tardais pas à jouir. Fred remplaça Quentin qui approcha sa bite de ma bouche, je le débarrassai du préservatif avant de le sucer pour qu’il jouisse dans ma bouche. Il ne tarda pas à exploser et le sperme coulait de ma bouche. Il essuya son sexe sur mes seins que je caressais, étalant le liquide poisseux.
Fred éjacula en moi alors que je me pinçais les tétons, il sortit sa bite de mon minou et je me jetais aussitôt sur le préservatif pour l’enlever et le vider sur mes seins. Ensuite j’essayais de lécher les pointes recouvertes de sperme. Je ne me reconnaissais plus et les deux lycéens étaient fous :
— Quelle salope, j’y crois pas !
— En plus on a plus de préservatifs…
N’y tenant plus je leur demandai de me baiser avec les doigts, leur langue ou tout ce qu’ils pourraient trouver. C’était merveilleux, ils me léchaient, me caressaient, me doigtaient. Quentin, s’enhardissant, commença à me masser l’anus. Je n’appréciais en général cette caresse que lorsque j’étais seule mais là, je lui demandais de me doigter
— Oui, mets-moi ton doigt, lèche-moi ! Ils me rendaient folle, je n’en pouvais plus, je branlais leurs queues entre mes seins en lapant le gland dès qu’il s’approchait de ma bouche. Fred s’absenta un moment et revint avec un gros sourire, cachant quelque chose dans son dos.
— Qu’est ce que c’est ?
— Devine
— Des préservatifs ?
— Non, hélas, mais quelque chose qui te réconforteras ! Et il me montra une lampe de poche métallique qui semblait faite pour ça.
— Attention elle est grosse, allez-y doucement !
Et il m’enfonça centimètre après centimètre sa lampe de poche dans la chatte. C’était absolument divin, Quentin recommença à me doigter le cul et je me mis à quatre pattes et leur demandais s’il n’avaient rien de mieux que des doigts pour mon cul. La lampe était trop grosse mais ils me proposèrent une canne de marche télescopique à laquelle ils avaient enlevé la poignée en mousse. Je les suppliais de me goder, de me défoncer. Jamais je n’avais parlé comme ça, je n’en revenais pas, j’étais à quatre pattes dans l’herbe, les jambes écartées, le cul à l’air et ils me pilonnaient la chatte et le cul avec la lampe et la canne, je me pinçais les tétons à en avoir mal et je jouis comme j’avais rarement joui. Je m’écroulais et ils me caressèrent encore un bon moment tendrement. Je me relevais et leur dit :
— C’était incroyable, je n’ai jamais joui comme ça, ça mérite une dernière récompense ! Et je me remis à les sucer avec application et ils éjaculèrent dans ma bouche et sur mes seins. Je nettoyais leurs bites pour ne plus laisser une trace de précieux liquide.
Ensuite, je voulais me baigner pour laver tout le sperme que j’avais sur le corps mais Fred m’interpella.
— Attends ne te lave, pas, reste comme ça, tu auras un petit souvenir de cette après-midi !
— Pourquoi pas ? Je pris leur numéro de téléphone et les quittai après avoir revêtu mes vêtements qui collaient à ma poitrine gluante de sperme et à mon entrejambe trempée de mouille. Je leur avais laissé mon string en souvenir…
Sur le chemin du retour je ne pouvais m’empêcher de sentir cette odeur de sperme qui me maintenait dans un état d’excitation terrible. Arrivée au chalet, je quittais mes vêtements pour me diriger vers la salle de bains et me doucher. Une fois propre, je regrettai presque de m’être lavée et je cherchais dans le panier à linge, mon T-shirt souillé que je repassais avec délice. Je ne tardais pas à m’endormir bercée dans mon hamac, la main sur mon sexe…
Je me réveillais le lendemain matin, le t-shirt collant à ma poitrine, le sperme avait séché dans la nuit et la sensation n’était plus aussi agréable, je décidais donc d’aller me laver. J’en profitais également pour me refaire le maillot, histoire d’être nette. Je regrettais presque la venue de mon amie, qui m’empêcherait de donner libre cours à mes fantasmes.
Après le petit déjeuner, toujours nue, je décidais de me donner encore un peu de plaisir pour ne pas passer ma journée frustrée. Je cherchais donc dans la maison tout outil susceptible de me convenir. Ce n’était pas terrible, et je décidais d’aller voir dans l’appentis s’il n’y avait rien de mieux. Le soleil n’était pas aussi brillant qu’hier mais la journée promettait quand même d’être belle. Je m’habituais facilement à ma nudité, le sentiment de gêne ou de peur avait été fortement ébranlé par ma rencontre d’hier.
J’aimais le contact un peu rude du gravier sous mes pieds, sentir le vent sur tout mon corps. L’appentis était utilisé comme atelier, étendoir à linge et réserve de bois et était par conséquent abrité. Sur le sol de terre battue et recouvert de sciure je découvrais de nouvelles sensations, en pénétrant une nouvelle fois dans un lieu où on n’était théoriquement pas nue comme un ver. Au milieu se trouvait un billot de bois dans lequel était fichée une hachette destinée à fendre le bois.
Son manche luisant garantissait l’absence de toute écharde. Elle était profondément fichée dans le lourd billot et je me disais que c’était là un outil tout à fait indiqué… Parcourant l’atelier du regard, je caressais le manche de la hachette comme si c’était un sexe en érection. Accroupie devant ce manche je m’imaginais un solide bûcheron généreusement membré, posais ma bouche sur ce manche et commençais à le lécher. Je me disais que j’étais devenue complètement folle mais j’étais tellement excitée que je ne contrôlais plus rien. En équilibre je me frottais contre le manche en me triturant les seins.
Le manche de la hachette était un peu gros et il avait du mal à passer, aussi je me suis retournée, pour trouver une position plus confortable et je me suis accrochée à une corde à linge. Ainsi, les choses étaient beaucoup plus simples et le manche disparaissait à vue d’œil dans mon sexe trempé. Par contre il m’était impossible de me caresser les seins.
La vue des pinces à linge me donna une idée, je me relevais et saisis une pince à linge en bois, je n’avais jamais essayé ça, ça devait être douloureux mais j’étais tellement excitée que j’ai tiré sur mon téton droit, et que j’y ai placé une pince à linge. La douleur était immédiate et brûlante et je retirais la pince de suite. Mais en même temps, cela me faisait mouiller comme une fontaine. Je replaçais la pince sur la pointe de mon sein, cette fois-ci plus délicatement, la douleur était toujours présente, mais je décidais de la garder et fit de même avec mon autre téton. Le spectacle d’une femme se t o r t r a n t les seins et se godant avec le manche d’une hachette devait être assez unique dans son genre.
L’orgasme ne tarda pas, mais j’avais encore envie de me donner du plaisir et cette fois j’avais envie de sentir quelque chose dans mon cul. Je m’allongeais à même le sol, et levant les jambes en les plaçant sur un établi je me doigtais le cul, léchant même mes doigts, tapotant les pinces sur mes seins. Je n’avais jamais envisagé la douleur lors d’un rapport, même lorsqu’un de mes amants me liait les poignets, cela restait très soft. Je découvrais une nouvelle facette de ma sexualité et j’avais l’impression que les barrières tombaient les unes après les autres.
Saisissant une nouvelle pince à linge, un peu usée, je la plaçais sur mon clitoris gonflé. Je n’ai pas pu éviter un petit cri de douleur mais là encore la sensation de chaleur intense qui s’est instantanément dégagée m’a convaincue de laisser la pince en place. Il ne me restait plus qu’à trouver un outil adapté à mon anus. Mais rien ne convenait, tout était trop gros ou trop sale. Je suis donc retournée à l’intérieur. En cours de route j’avais perdu la pince qui me pressait le clito, je me suis arrêtée, baissée et je l’ai ramassée puis remise en place en écartant les jambes. C’est alors que j’ai remarqué que j’étais couverte de sciure, je m’étais roulée par terre et même mes cheveux étaient parsemés de copeaux de bois, mais qu’importe, je n’avais qu’une idée, m’occuper de mon cul en feu.
Je ne trouvais même pas une petite carotte pour me satisfaire et me dis que j’achèterai les légumes en conséquence. Je me finis donc avec deux doigts dans le cul en titillant mes pinces à linge. Chavirée par un orgasme incroyable je m’assoupissais à même le tapis. En faisant un mouvement une des pinces s’est enlevée de mon téton et la douleur m’a réveillée aussi efficacement qu’un seau d’eau froide. Je retirai les deux autres pinces en massant doucement les zones meurtries. La v i o l ence de cet orgasme était impressionnante et je me disais qu’un godemiché me serait peut-être utile à l’avenir. Mais en réfléchissant bien, ce qui m’excitait le plus c’était de détourner l’usage premier des ustensiles que je m’enfonçais dans la chatte, et je me promettais de trouver ce qu’il fallait lors de mon passage au centre commercial du coin.
Mon portable sonna, c’était Anne, elle venait de prendre le train à Paris et serait là pour 15h30. Elle me trouva une voix bizarre,
— Ça va ? Tu as une drôle de voix
— Oui, je suis un peu naze, je viens de me réveiller… Mais dis-moi tu as pensé à ma trousse de toilette ?
— Oui, je l’ai cherchée en allant à la gare. On se retrouve sur le quai ?
— Oui, à tout de suite !
Et je raccrochai, filai prendre une douche et commençais dans ma tête ma liste de courses un peu spéciale… Je ne savais pas trop quoi mettre et je me retrouvais dans la même robe qu’hier mais sans string, elle était assez longue pour que je reste discrète (à moins de faire du vélo). Je chaussais mes sandales à lacets et sautais prestement dans la voiture.
Arrivée dans un centre commercial proche de la gare, il me restait plus de 3 heures avant de retrouver Anne, je mangeais donc un morceau sur une terrasse avant d’aller flâner un peu dans les magasins. Période de soldes oblige, j’entrais dans un magasin de lingerie. À part quelques bas autofixants en promo peu de choses me plaisaient, j’aime beaucoup la belle lingerie et la vendeuse sembla s’en apercevoir
— Si vous le souhaitez, je peux vous montrer d’autres modèles, un peu plus originaux ?
— Pourquoi pas ? Répondis-je en me disant que j’allais ressortir avec n’importe quoi juste parce que la vendeuse était sympa. Elle me montra d’autres ensemble effectivement plus sexy et je décidais de la taquiner.
— Vous avez plus sexy encore ?
En rougissant, elle m’emmena dans l’arrière boutique, laissant le magasin à sa collègue. Arrivées au milieu de piles de cartons elle en ouvrit un et me proposa des dessous effectivement beaucoup plus osés, des culottes échancrées laissant voir le sexe, des porte-jarretelles, des ensembles transparents… J’étais surprise de trouver ça ici, et la vendeuse me confia, que seules quelques personnes faisaient leurs courses dans l’arrière boutique. Je ne pus résister à l’idée d’essayer quelques ensembles :
— Puis-je essayer celui-ci ? En lui montrant une culotte fendue au niveau du sexe.
— Bien sûr je vous laisse, Madame.
— Non, vous pouvez rester ça ne me dérange pas, par contre je n’ai pas de culotte, est ce que cela pose problème ?
— Euh non allez-y !
— Vous avez déjà essayé ça, quelle sensation ça fait ? Lui demandais-je en enfilant la culotte. Ses joues subitement rouges répondaient à sa place et je la soupçonnais d’essayer souvent ces dessous. En attendant, la robe sur les reins, je cherchais un miroir pour me rendre compte de l’effet que ça pouvait faire. La sensation était assez agréable et mêlait la caresse de la soie à la sensation de nudité.
— Avez-vous un miroir ?
— Non Madame, mais il vous va à ravir. Cependant, si je peux me permettre…
— Oui ?
— Il est mal ajusté.
— Ah, vous pensez ? (Je n’étais pas franchement convaincue de l’argument, mais jouant le jeu…) Et comment doit-on l’ajuster ? Sur ce elle s’accroupit devant moi, et tira un peu vers le haut, ce qui fit ressortir mes grandes lèvres en les ouvrant un peu. Elle effleura mon sexe légèrement et ce contact m’électrisa.
— Voilà, ainsi, il vous fera plus d’effet…
— Merci, effectivement c’est agréable, vous n’auriez pas un miroir ?
— Attendez je vais en chercher un, je reviens de suite !
Je profitais de ce répit pour glisser un doigt dans ma chatte trempée et j’étais en train de le lécher quand la vendeuse revint portant un miroir.
— Voilà, vous pouvez vous admirer maintenant, mais votre robe vous gêne, enlevez-là vous serez mieux !
— Bonne idée ! Et j’enlevais ma robe promptement pour me retrouver vêtue d’une culotte laissant voir mon sexe humide à côté de la vendeuse qui trouvait ça ravissant.
— C’est superbe, même si ça ne va pas avec vos chaussures plates.
— C’est vrai, vous avez raison, si vous voulez bien, je vous laisse et je vais m’en acheter une paire.
— Oui, bien sûr, allez-y, je vous attends. Non, gardez la culotte en attendant ! A tout de suite !
Et je fonçais dans un magasin proche m’acheter des chaussures à talon noires réalisant que c’était pour plaire à une vendeuse qui me semblait un peu vicieuse. Au moment d’essayer les chaussures le vendeur à du remarquer ma culotte, mais n’a pourtant pas bronché. Après les avoir payées, il m’a gratifiée d’un grand sourire en me souhaitant une très bonne journée. De retour dans le magasin, la vendeuse qui se prénommait Marjorie, abandonna presque une cliente pour m’entraîner au fond du magasin.
— Alors montrez-moi ce que ça donne avec vos nouvelles chaussures !
— Et voilà ! Fis-je abandonnant le plus naturellement du monde ma robe devant Marjorie qui ne pouvait pas ne par remarquer que mes tétons étaient dressés.
— Essayez ça si vous le souhaitez. Dit-elle en me tendant un corset à lanières. Il soutenait mes seins en laissant voir les tétons. J’avais l’air un peu pute et franchement ça m’excitait. Marjorie s’approcha de moi et me dit
— Nous sommes bien assorties ainsi ! Et elle déboutonna son chemisier libérant une jolie paire de seins emprisonnés dans le même type de corset blanc cette fois. Sa peau blanche allait à ravir avec son ensemble et contrastait avec ma peau bronzée, je nous admirais dans le miroir : elle avait des plus gros seins que moi, et ils paraissaient très serrés dans son ensemble. Je lui proposais donc de l’enlever.
— Ça à l’air serré, ça ne vous fait pas mal ?
— Non j’aime assez porter des corsets un peu étroits, ça met la poitrine en valeur.
— C’est vrai, vos seins sont superbes. Et j’approchais ma bouche pour les embrasser. Marjorie sembla ravie de mon initiative
— Oh c’est bon, mordillez-moi les pointes, plus fort ! Et je continuais à la t o r t u r e r avec mes dents pendant que mes mains cherchaient la fermeture de sa jupe. Sous sa jupe, surprise, pas de culotte ni de string mais comme une petite pince sur son clitoris.
— Qu’est ce que c’est ? Demandais-je en titillant l’objet métallique
— Un bijou intime, c’est vraiment spécial, un peu douloureux mais les sensations sont incroyables. Et ici, au magasin, je ne peux pas porter de pince aux seins alors celle-ci est plus discrète. Et elle glissa son doigt entre les pans de ma culotte pour me branler doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que je commence à ahaner.
— Tu sais je n’ai jamais fait ça avec une femme… mais c’est agréable.
— De toutes façons tu ne peux plus reculer, lèche-moi ! Son ton était presque impérieux, mais comme je n’avais qu’une envie j’ai approché mon visage de ses jambes écartées et j’ai posé ma bouche sur son sexe luisant. C’était délicieux, je buvais littéralement son sexe qui ruisselait et elle me plaquait la tête contre son intimité. Ensuite elle me mordilla les seins et les lécha longuement avant de se diriger vers mon clito.
— Tu es excitée, tu aimerais que je te lèche ?
— Je t’en supplie, oui, lèche-moi… J’étais prête à faire n’importe quoi, sentant son souffle sur mes lèvres. Et subitement elle me mordit les grandes lèvres, pas très fort mais assez pour que j’aie un peu mal. Elle continua ce traitement un moment me pinçant le clito entre ses dents ou ses doigts, m’enfonçant ses doigts dans la chatte. Je n’en pouvais plus.
— Allonge-toi et écarte les jambes ! Toujours sur un ton qui n’acceptait pas de réplique. Je m’allongeais, écartais les jambes et elle se rapprocha de moi, me caressant sans arrêt. Puis elle s’assit à califourchon sur mon visage en m’ordonnant de m’appliquer. Son sexe était à quelques centimètre de ma bouche et je ne demandais qu’à lui montrer ma bonne volonté. Je titillais son petit bijou, léchais sa chatte ruisselante, je ne pouvais me servire de mes doigts, seule ma langue et ma bouche s’activaient. Je risquais un coup de langue entre les fesses de Marjorie qui immédiatement se réajusta pour me permettre de mieux accéder à son anus. Je n’avais aucune sensation de dégoût, je la léchais sans aucune arrière-pensée, n’hésitant pas à entrer ma langue. Soudain elle se releva
— Appuie-toi là et écarte les jambes ! Je vais te récompenser ! Et je me mis face au mur, cambrée, les jambes écartées. Je voyais mon reflet dans le miroir qu’elle avait apporté, c’était à peine croyable, j’étais habillée comme une pute, en train de me faire doigter par une femme. Elle glissait son doigt et me le faisait lécher, je prenais un plaisir fou à me regarder faire. Ensuite elle me mit un doigt dans le cul et je la suppliais de me le faire lécher.
— Tu es vraiment une salope toi, je suis contente de t’avoir rencontrée disait-elle en me faisant goûter mes propres sécrétions. Et en me sodomisant de plus belle avec ses doigts. Nous nous retrouvâmes à califourchon l’une sur l’autre, léchant, doigtant, suçant tout ce qui se trouvait à notre portée. Elle se saisit brusquement de mes chaussures et enfonça sans ménagement les talons dans mon sexe et mon anus. C’était d’une v i o l ence peu commune mais j’adorais ça.
Après un orgasme que j’ai tenté d’étouffer en plaquant ma bouche sur son sexe, nous nous sommes embrassées longuement et elle me demanda si nous pouvions nous revoir. Je lui donnais mon numéro de portable, pris le sien et m’habillais rapidement après avoir rangé les dessous qu’elle m’avait finalement offerts.
Il ne me restait plus qu’une heure pour mes courses et repensant à tout ce que je pourrais utiliser à des fins détournées, je me retrouvais néanmoins avec un caddie plein.
J’arrivais à la gare à l’heure prévue mais comme souvent le train avait un peu de retard. Pour patienter j’essayais de me remémorer mes dernières sorties avec Anne, cela faisait un bail, depuis que nous nous étions rencontrées à Lyon. L’école de commerce ne nous enchantait pas vraiment et c’est ce qui nous a rapprochées, nous sortions souvent ensemble et mine de rien nous pouvions nous confier l’une à l’autre. Déjà à l’époque elle était dingue de Jean, elle me saoulait même un peu, à l’entendre, il était formidable, intelligent, drôle… Je lui conseillais alors de ne pas mettre la charrue avant les bœufs et de prendre son temps, elle avait deux ans de moins que moi et j’essayais tant que faire se peut de la faire profiter de mon expérience. Son histoire n’avait à mon avis pas d’avenir, Jean n’était pas fait pour s’entendre avec elle, c’est vrai qu’il était chouette, mais Anne n’était pas assez originale pour lui, il lui fallait quelqu’un avec davantage de caractère.
À un moment j’aurai bien essayé de le draguer, mais je ne pouvais pas faire ça à Anne. Cependant, elle avait finalement réussi à lui mettre le grappin dessus, peut-être un peu à l’usure, je ne sais pas, mais quand elle m’avait appelée, m’annonçant la nouvelle, je ne pouvais m’empêcher de penser que ça ne durerait pas. Quant elle m’a téléphoné la semaine dernière, j’ai de suite compris que mes pronostics s’étaient réalisés. Anne avait besoin de se changer les idées et je me suis dit que si un petit bol d’air pur me faisait du bien, il n’y avait aucune raison pour que cela ne lui convienne pas. Cet endroit m’a toujours permis de me ressourcer, et depuis le début du mois, je regonflais mes batteries après une mission qui m’avait fait visiter à peu près toutes les grandes villes du pays et des zones francophones.
Je pensais aussi à ces derniers jours et comptais sur Anne pour me faire retrouver un peu de normalité. Maintenant je me trouvais un peu honteuse d’avoir « baisé » avec des partenaires qui m’étaient totalement inconnus l’instant d’avant, on ne peut pas parler d’amour dans ces cas, je m’étais complètement lâchée, je n’avais qu’une envie, me donner du plaisir. Je me jugeais jusqu’à présent assez originale en amour, j’ai toujours aimé ça, j’étais souvent émoustillée à l’idée de faire l’amour ailleurs que sur un lit.
Même au niveau des pratiques amoureuses, j’aimais être un peu cochonne, lécher, sucer des sexes ou me faire lécher mais je n’aimais pas que mon partenaire éjacule dans ma bouche. C’est pour moi les préliminaires idéaux avant une pénétration. C’est vrai la sodomie ne m’a jamais trop plu, sauf avec un de mes amis qui avait un sexe assez fin et qui du coup permettait une pénétration sans douleur. Mais depuis trois jours, je me surprends à aimer (un peu) la douleur, a aimer des sensations nouvelles et je trouve que tout cela va trop vite. Il est vrai que ça fait bientôt six mois que j’ai quitté Serge et que ma vie sexuelle est au calme plat. Bien sûr je me masturbais de temps à autres, je me caressais même un peu plus pour compenser, mais j’étais peut-être quand même en manque !
Je ne savais pas trop comment j’allais retrouver Anne, écroulée, au bout du rouleau, anéantie… Le train entrait en gare et j’essayais de la chercher à travers les vitres des wagons. Après un dernier crissement, le train s’immobilisa et j’aperçus Anne avec un gros sac en bandoulière. Quel choc ! Elle avait complètement changé, elle était vêtue d’un tailleur assez sobre, de chaussures à talons, elle avait toujours ses longs cheveux noirs, mais jamais je ne l’avais vue comme ça, j’étais habituée à des tenues presque trop décontractées et je la trouvais changée. Elle se dirigeait vers moi en souriant et je réagissais enfin en la prenant dans mes bras.
— Salut Fabi !
— Anne, je ne t’aurais pas reconnue, je ne t’avais jamais vue en tailleur !
— C’est pour le boulot, j’avais une réunion importante à 8h et j’ai du passer au boulot, pour être sûre de ne pas rater le train je suis ensuite allée directement à la gare.
— Côte à côte, ça fait rat des villes et rat des champs ! Lui dis-je en pouffant. Elle semblait aller pas trop mal et je me disais que le mieux était de la laisser parler au moment ou elle en aurait besoin.
— Pffff m’en parle pas, j’ai qu’une envie, une bonne douche et retrouver un jean et un T-shirt.
— Alors partons, retrouver le bon air pur !
Et nous nous dirigeâmes vers la voiture, discutant du voyage, du beau temps et des perspectives de balade. Le trajet était assez long et il faisait vraiment lourd, la chaleur était étouffante, et bien sûr je n’avais pas la clim. J’avais chaud et j’imaginais qu’Anne, en tailleur devait être en train de cuire. Elle avait retiré sa veste, et son chemisier collait à sa peau.
— Quelle chaleur ! Je pense qu’un orage se prépare, avec un peu de chance, il ne va pas tarder et nous rafraîchir un peu.
— J’en peux plus, je suis en nage. Fit Anne en enlevant ses chaussures.
— Courage on arrive, la douche salvatrice approche.
Arrivée au chalet, effectivement la douche était arrivée, il pleuvait à seaux et nous nous retrouvions coincées dans la voiture, ne sachant quoi faire pour éviter de se faire tremper. Je proposais à Anne de tout laisser dans la voiture et de courir vers la terrasse couverte qui n’était finalement pas si loin.
— À la une, à la deux, à la trois ! Et nous nous retrouvions à courir comme des dingues sous la pluie battante pour rejoindre l’abri du chalet.
— Ouah ! Quelle aventure ! On est belles comme ça ! Nous avions les pieds couverts de boue, trempées comme des soupes, nos vêtements collaient à la peau. Je voyais par transparence le soutien-gorge d’Anne et me dit qu’elle devait voir que je ne portais rien sous ma robe…
— Entre, et fais comme chez toi, si tu veux prendre une douche, la salle de bains est au fond, je t’apporte une serviette.
— Ok, merci j’y vais, ça me fera du bien.
En attendant, je décidais de faire chauffer de l’eau pour un café. Mes pieds étaient encore plein de boue et je sortis pour les rincer sous la gouttière de la terrasse. L’eau était froide mais c’était agréable, il pleuvait tellement fort que même à l’abri je recevais des projections d’eau. Trouvant cela amusant je me mis sous l’averse, laissant l’eau glacée me doucher et couler le long de mon corps. Mais le froid m’a vite ramenée à l’intérieur et pour ne pas tremper le plancher, j’ai ôté ma robe à l’entrée et je l’ai accrochée à une patère. Puis je me suis dirigée vers le placard jouxtant la salle pour chercher des serviettes, une pour moi et une pour Anne.
J’étais à mi-chemin lorsqu’elle sortit de la salle de bain encore toute habillée. Moi qui croyais qu’elle était sous la douche, elle m’avait peut-être vue dehors. Mais à en juger par ses joues, elle était surprise de me voir entièrement nue au milieu de la pièce et bafouilla
— Euh j-j-je voulais juste du shampoing, tu en as ?
— Euh il me semble qu’il y en a dans le petit placard sous le lavabo. Répondis-je ne pensant même pas à me cacher.
— Je vais voir, euh merci !
Et elle rentra à nouveau dans la salle de bains me cria un « OK j’ai trouvé ! » et j’entendis le bruit du chauffe-eau qui se met en route. Le vacarme de la pluie sur le toit était assourdissant et je me disais que le plus simple était de chercher les affaires dans la voiture avant de prendre ma douche. Je me reglissais donc dans ma robe trempée et allais chercher les provisions et les affaires d’Anne. L’eau ruisselait sur mon corps et j’avais l’impression de sentir l’impact de chaque goutte. Après trois aller-retours, j’avais vidé le coffre, fermé la voiture et je pouvais m’apprêter à passer la fin de la journée au chaud sans avoir besoin de sortir sous l’orage. Je quittais à nouveau ma robe pour traverser la maison et chercher des serviettes. M’enveloppant dans un grand carré de bain, je toquais à la porte de la salle de bains.
— Je t’apporte une serviette !
Je toquais plus fort mais Anne de donnait pas de réponse, j’entrouvris donc la porte doucement pour déposer la serviette sur une chaise. Anne était couverte de mousse et se faisait un shampoing, elle avait les yeux fermés et ne pouvait donc pas me voir. Quant au vacarme de la pluie sur le toit et de la douche réunis, il l’empêchaient de m’entendre. Je crois que c’est la première fois que je la voyais nue et franchement elle était belle, sa peau était très blanche, et contrastait avec ses cheveux très noirs.
Sa poitrine était peut-être un peu plus importante que la mienne qui, j’en conviens n’est pas généreuse. Ses seins en forme de poire avaient l’air ferme et ses aréoles sombres étaient larges. Ses fesses étaient superbes, elle avait un petit cul rebondi qui devait tourner la tête des mecs. Je me disais que ce n’était pas le moment de flasher sur ma copine et je sortis de la salle de bains sans un bruit. Après quelques instants elle en sortit aussi, emmitouflée dans une serviette éponge nouée au-dessus de la poitrine. Ses épaules nues étaient recouvertes de gouttelettes et elle était vraiment craquante.
— Tu fais star de ciné au sortir du bain ! Plaisantais-je lui désignant une tasse de café chaud.
— J’en parlerai à mon producteur ! Tu peux me prêter des fringues en attendant ?
— Ton sac est là, j’ai tout ramené, je vais te montrer ta chambre si tu veux.
— Je te suis, t’as été courageuse de te faire saucer pour récupérer nos affaires !
— Bah, mouillée pour mouillée… Et je lui montrais sa chambre à l’étage, elle était aménagée assez simplement, mais les poutres apparentes et la mansarde lui donnait pas mal de charme.
— Ouah ! Super, c’est vraiment bien aménagé ici !
— C’est pas grand, mais c’est sympa, je te laisse t’habiller, on se retrouve en bas ?
— Ok à tout de suite, et attends… tu sais c’est sympa que tu m’aie invitée, ça me fait du bien de te revoir.
— Moi aussi je suis contente, et encore tu n’as pas idée du repas que je te prépares pour ce soir !
— Je peux deviner ? Je n’ai pas amené de robe du soir !
— Tu verras, mets-toi à l’aise. À tout de suite !
Et je rejoignais la salle de bains. Elle avait laissé ses affaires trempées et je les ramassais pour les laver plus tard. Curieuse je fouillais pour trouver ses sous-vêtements. Elle avait des dessous blancs assez mignons mais par contre sa culotte était un peu trop large à mon goût, elle masquait les fesses au lieu de les mettre en valeur. Quel dommage !
Machinalement je portais sa culotte à mon nez et respirais cette odeur particulière, différente de celle de Marjorie ou de la mienne. La tête me tournait et je sautais sous la douche pour me calmer un peu. Après une bonne douche, je me sentais revigorée et après avoir revêtu une robe et un petit pull, je préparais le repas. Anne était descendue, elle était vêtue d’un jean et d’un sweat informe, tenue dans laquelle je la reconnaissais. Elle sirotait son café en regardant la pluie tomber.
— Ton portable a sonné pendant que tu étais sous la douche, je ne savais pas si je devais répondre, alors je l’ai laissé sonner.
— Oh tu peux répondre, je ne reçois jamais d’appel du boulot sur ce numéro.
— Je peux t’aider pour le repas ?
— Non, sinon ce ne sera plus une surprise !
— Ok, alors je vais continuer à rêvasser.
Et je préparais un petit repas aux chandelles digne d’une soirée de retrouvailles. Une fois la table mise, nous avons ouvert une bouteille de champagne et trinqué à nos vacances. Anne était visiblement heureuse d’être là et nous passâmes une excellente soirée à bavarder, et essentiellement dire du mal de Jean, ça fait tellement de bien de dire du mal. Un peu plus tard assises dans l’unique canapé Anne me dit :
— Bah, finalement, c’était plus jouable, c’est vrai que j’aurais du l’écouter quand il me disait que ça ne marcherait pas. On était trop différents.
— Tu ne regrettes pas quand même ?
— Non, surtout qu’il m’a appris pas mal de choses sur moi, et puis on s’est quittés bons amis quand même et il a été très gentil.
— Je le voyais mal te larguer, il est trop clean pour faire des sales coups.
— C’est vrai, j’ai de la chance dans une certaine mesure.
Je sentais que la discussion commençait à la gêner un peu et je tentais de repartir sur un autre sujet de conversation.
— Tu as apporté de quoi randonner j’espère ? J’ai prévu de belles balades pour nos vacances.
— Oui, j’ai ce qu’il faut, même mon maillot de bain !
— Tu as bien fait je connais quelques endroits sympas où on peut se baigner.
— Dis-moi, tu te promènes souvent toute nue chez toi ? Elle m’avait posé la question le plus naturellement du monde et j’étais un peu surprise.
— Ben euh, non en fait ma robe était tellement trempée que je l’ai ôtée pour ne pas mouiller le plancher. Mais je voyais à son regard qu’elle trouvait mon explication simpliste.
— Ah, c’était drôle de te voir toute nue au beau milieu de la maison.
— Ben euh oui, je pense que ça doit faire bizarre… Je t’ai pas choquée quand même ?
— Non, pas du tout, mais tu paraissais tellement à l’aise, ça avait l’air tellement naturel…
Je n’allais quand même pas lui raconter mes dernières journées. J’essayais de trouver une explication plausible mais je crois que je m’enfonçais davantage. Soudain le téléphone sonna, il était plus de 23 heures et je me demandais qui pouvait appeler.
— Allo ?
— Oui ?
— Fabienne ?
— Oui
— C’est Marjorie. Je t’ai appelée avant tu n’as pas répondu.
— Ah j’avais laissé le téléphone dans la voiture. Comment vas-tu ? J’étais mal à l’aise, elle avait l’air déçue ou fâchée et je ne savais pas trop quoi dire.
— Bien, je voulais savoir ce que tu faisais.
— Je suis avec une amie. Enfin une amie venue passer quelques jours ici pour se changer les idées.
— Ah je te dérange alors ?
— Non, non pas du tout !
— Tu as repensé à cet après-midi ?
— Oui, bien sûr c’était très sympa !
— Tu es bizarre, tu ne peux pas parler ?
— Absolument, c’est ça. Elle avait deviné ma gêne et du coup devient plus amicale.
— Alors réponds par oui ou non ok ?
— D’accord, je t’écoute,
— Tu as pris du plaisir avec moi ?
— Oui
— Tu n’avais jamais fait ça avec une femme non ?
— Non, jamais, effectivement.
— Tu as aimé le goût de ma peau ?
— Oui
— Tu as aimé me sucer les seins ? Caresser mes tétons
— Oui c’était délicieux. Je commençais à me sentir un peu chaude, l’alcool aidant, j’étais émoustillée.
— Tu as aimé quand je t’ai f o r c é e à me lécher ?
— C’était fantastique.
— Avec qui es-tu ? Décris-la moi. Elle me posa brusquement cette question et je ne pouvais pas y couper. J’essayais de donner une description de quelqu’un que nous aurions connu.
— Eh bien assez grande, tu te souviens ? Avec des cheveux noirs.
— Comment s’appelle t-elle ? J’étais coincée, comment répondre… et soudain j’eus une idée.
— Anne, elle était dans l’autre groupe de TD, tu vois maintenant ?
— Tu es maligne, et tu me manques, je peux te rappeler plus tard ?
— Oui bien sûr,
— Ton téléphone peut recevoir des photos ?
— Oui, et je peux même en envoyer !
— Parfait, quand tu seras seule je veux que tu m’envoies une photo de toi nue pour me prévenir.
— D’accord à tout à l’heure !
— Je t’embrasse
— Moi aussi !
Anne semblait être curieuse au sujet de cet appel et me demanda si elle connaissait la personne qui m’appelait. Je lui mentis en prétextant qu’il s’agissait d’une ancienne copine de Lyon, et que je pensais que nous nous étions déjà vues toutes les trois. Un peu fatiguée, Anne me dit qu’elle allait monter pour faire un tour de cadran.
— Je suis vannée, je vais dormir, encore merci pour ce repas, on ne pouvais pas faire plus romantique ! Et sur ce, elle m’embrassa sur la joue.
— Fais de beaux rêves !
— Toi aussi, à demain.
Je débarrassais la table et montais dans ma chambre en fermant bien la porte. Ensuite je me déshabillais entièrement et pris mon appareil photo, il n’y avait pas beaucoup de lumière aussi décidais-je de descendre chercher une autre lampe. Toujours nue, je descendis l’escalier et pris un spot halogène qui devait faire l’affaire. De retour dans ma chambre, je branchais le spot, je commençais à mouiller. Je pris une photo en tendant le bras au maximum et l’envoyais à Marjorie. Quelques instants plus tard un bip m’avertit de l’arrivée d’une photo. C’était Marjorie, elle était nue, allongée sur une surface blanche, un autre cliché arrivait, on voyait ses seins munis d’une chaînette rejoignant les deux tétons. Je lui envoyais un cliché de mon sexe en gros plan.
Le téléphone sonna
— Allo ?
— Oui c’est moi.
— Je te propose un jeu
— Oui, je t’écoute Marjorie
— Je vais te guider, et tu vas me raconter ce que tu fais.
— Ok,
— Je te demanderai de m’envoyer quelques clichés pour vérifier que tu le fais bien.
— Ok, je ne savais pas où je mettais les pieds mais sa voix m’hypnotisait, je ne pouvais pas refuser et pour être honnête je mouillais comme une fontaine.
— Tu as vu mes seins ?
— Oui, ils sont beaux
— Tu aimerais que je mordilles les tétons comme hier ?
— Oui, ça faisait mal mais c’était tellement bon.
— Tu aimerais que je te pince le clito comme hier ?
— Je ne sais pas
— Tu aimerais que je te pince le clito comme hier ? Réponds !
— Oui ! J’aimerais mais j’ai un peu peur.
— Pince tes seins entre tes doigts.
— Oui, et je pinçais tour à tour mes tétons, assez fort, il pointaient de plus en plus
— Lèche-les maintenant et envoie-moi une photo avec ta langue sur le sein.
— Oui je les lèche regarde la photo ! C’est bon.
— Maintenant tu vas prendre le paquet que je t’ai donné au magasin.
— Il est encore dans la voiture…
— Alors sors !
Je descendis nue, chercher le paquet, et je pris une photo de moi nue dehors et l’envoyais à Marjorie.
— C’est très bien, non ne rentre pas encore, promène toi encore un peu
— Il fait froid. Et je commençais le tour de la maison.
— Justement, ça te fera encore plus de bien
— Je suis devant la porte que dois-je faire ?
— Entre et retourne dans ta chambre.
— J’y suis
— Ouvre le paquet.
— Je l’ouvre ! Il y avait d’autres objet que ma commande initiale, et bien en vue des petites pinces semblables à celles que j’avais vues sur la poitrine de Marjorie.
— Tu sais ce qu’il te reste à faire ?
— Oui, je sais. Je pose le téléphone un instant.
J’étais hypnotisée par ces petits bout de métal froid, je savais que la douleur serait importante, mais Marjorie m’avait tellement excitée, je ne pouvais pas reculer et saisissant la pointe de mes seins, je plaçais les pinces dessus. La douleur était immédiate, la sensation de chaleur aussi, je pris un cliché de mes tétons meurtris et l’envoyais à Marjorie.
— Je suis fière de toi, tu es très belle
— Merci
— Tu as mal ?
— Oui, mais c’est bon, j’aime ça
— Tire sur les pinces et prends une photo
— Aahhhh, ça fait mal !
— Prends une photo !
— Oui, et je m’exécutai
— C’est très bien maintenant allonge-toi parterre et branle-toi
— Merci, c’est bon,
— Tu as deux trous à remplir n’oublie pas !
— Oui je me branle bien !
— Tu aimerais me lécher comme cet après-midi ?
— Oh oui,
— Tu aimerais que je te doigte ?
— Oh arrête, je n’en peux plus !
— Tu aimerais que je te gode avec tes chaussures ?
— Attends je vais les chercher.
— Oui mais continue à te toucher
Je descendis, chaque pas faisait tressauter mes pinces et je devais me retenir pour ne pas crier. Je ne savais plus où étaient mes chaussures,
— Je ne trouve pas mes chaussures,
— Cherche !
— Attends, il y a celles de mon amie.
— Bonne idée, prends une photo que je vois à quoi elles ressemblent !
— Voilà, et j’envoyais un cliché où je pressais les chaussures contre mes seins, les talons croisés dans le sillon.
— Très bien, maintenant lèche-les, suce les comme une bite !
— Oui, et je lui envoyais des photos ou j’avalais le talon presque en entier.
— Maintenant tu sais où les mettre ?
— Oui
— Où ?
— Dans ma chatte et mon cul. Répondis-je et je lui demandais si je pouvais m’enfermer dans la salle de bains pour ne pas réveiller Anne en criant.
— Non, bâillonne-toi, prends une culotte et mets la dans ta bouche.
— Je peux prendre une culotte d’Anne ?
— Oui c’est une bonne idée, va la chercher.
Je pris une photo de moi avec la culotte dans la bouche, sentir ce parfum m’enivrait, je devenais folle.
— Gode-toi maintenant et n’oublie pas les photos !
Je lui envoyais plusieurs photos, avec les talons des chaussures d’Anne dans le sexe, l’anus et même les deux talons dans le sexe, écartant mes lèvres à m’en faire mal. Je jouis comme une folle ne pensant même plus à Anne qui dormait juste au-dessus. Marjorie me tenait, elle avait découvert mes fantasmes et j’étais comme un jouet entre ses mains. Elle m’ordonna de nettoyer les chaussures avec la langue et je lui envoyais une dernière photo avant qu’elle ne me souhaite une bonne nuit, me promettant de me donner bientôt de ses nouvelles.
Je rangeais les chaussures d’Anne et sa culotte, enlevait mes pinces puis je montais. Je me demandais si je ne l’avais pas réveillée mais elle semblait dormir. Tombant de sommeil je me suis écroulée pour me réveiller alors que le soleil était haut.
Anne était déjà levée et m’avait préparé le petit-déjeuner. Une belle journée se profilait devant nous.
Après être passée sous la douche et avoir pris un bon petit-déjeuner je proposais à Anne de faire une balade, histoire de profiter du soleil. Elle me dit qu’elle était prête, qu’elle n’avait qu’à mettre ses chaussures.
— Je ne te conseille pas de rester en pantalon, tu vas avoir sacrément chaud.
— Je sais pas trop, en plus je n’ai pas de short
— C’est pas un problème, viens avec moi on va t’en trouver un ! Et nous sommes montées dans ma chambre. Alors que je farfouillais dans mon armoire à la recherche d’un short, Anne ramassa un petit objet parterre
— C’est quoi ce truc ?
Oh m e r d e , elle était tombée sur une des pinces que j’avais laissées tomber hier soir. Je devais être rouge comme une pivoine en répondant
— Oh rien de particulier, c’est un bijou sans importance ! Mais je suis sûre qu’Anne n’était pas aussi innocente qu’elle voulait le laisser paraître et qu’elle se doutait de l’usage qu’on faisait de cet objet.
— Je te le pose sur la table de nuit.
— Euh, oui merci ! Voilà un short pour toi ! Et je lui passais un de mes vêtements
— Oulala c’est court ! Mais tu as raison, je serais mieux là-dedans. Je vais m’habiller.
— On se retrouve en bas ?
— Ok à tout de suite.
Et je passais moi-même un petit short et une petite chemise nouée sur l’avant avant de mettre de bonnes chaussures. Quelques victuailles dans un sac, de l’eau, une carte, et nous voilà parties sur les sentiers. Nous discutions de tout et de rien mais je ne pouvais m’empêcher de penser à la pince qu’Anne avait vue. Elle ne mentionna pas ce petit « incident » et nous continuions notre chemin. La forêt était magnifique, le soleil brillait, et la pluie d’hier laissait un parfum de terre un humide. Nous étions bien, et j’avais l’impression que nous n’avions jamais été aussi proches. Anne avait changé, elle était plus spontanée, elle n’avait jamais été coincée mais je la trouvais plus libre, plus confiante qu’avant. Je lui montrai une petite clairière au milieu d’une sapinière qu’on ne pouvait atteindre qu’en passant à travers les arbres.
— Je crois qu’on peut s’arrêter là pour manger un morceau. Ici on sera tranquilles !
— Bonne idée, et on pourrait en profiter pour faire une petite sieste au soleil !
— Tu m’ôtes les mots de la bouche.
Et nous nous installâmes pour nous rassasier et Anne, s’allongeant sur l’herbe se mit à rêvasser. Je fis de même, nous étions allongées sur l’herbe, silencieuses, goûtant la caresse du vent sous un ciel bleu, le bonheur. Après un moment je me retournais pour voir si elle s’était endormie, elle avait effectivement fermé les yeux et je décidais d’en profiter pour bronzer un peu. J’ôtais mon short et ma chemise pour me retrouver en string, me passais de la crème solaire et m’allongeais. Je n’avais pas sommeil et dès qu’Anne se réveillerait il me suffisait d’enfiler ma chemise. Je l’écoutais respirer calmement et m’endormis malgré tout. Je me réveillais en sursaut, entendant un bruit de vêtements qu’on froisse, je me redressais et Anne était devant moi en train d’étaler de la crème solaire sur ses seins. Elle était simplement vêtue d’une culotte.
— Oh, je ne voulais pas te réveiller, mais si je ne mets pas de crème solaire, je vais prendre un coup de soleil. J’ai cherché la crème dans ton sac.
— Ah, euh tu as bien fait, surtout que tu as la peau blanche ! Sa peau était un peu laiteuse, et je la regardais passer de la crème, c’était magnifique, sensuel, et pourtant ça avait l’air tellement naturel, j’aurai donné pas mal pour passer moi-même la crème sur son corps.
— C’est vrai, d’autant plus que je ne profite pas souvent du soleil, on est tellement bien ici, tout est calme, c’est génial ! Tu viens souvent dans cette clairière pour bronzer ?
— Oui, c’est un petit coin de paradis, on y est tranquille.
— Je n’avais jamais profité du soleil comme ça, avant.
— Tu n’étais jamais à la plage ?
— Non, c’est pas ça, je veux dire sans le haut.
— Ah, fais bien attention à tes seins alors, et protège-les bien. Surtout les bouts !
— Je vais remettre de la crème. Et joignant le geste à la parole, elle se remit de la crème sur la poitrine.
Je commençais à avoir un peu chaud, à l’idée de ce corps appétissant, mais je ne pouvais pas lui sauter dessus comme ça ! Anne se rendormit paisiblement, mais moi j’étais complètement réveillée, je pouvais maintenant l’observer à mon aise, admirer ses seins qui se soulevaient, ses aréoles sombres et larges, sa bouche entrouverte, les gouttes de sueurs qui perlaient sur son front. Je la détaillais sans scrupules, ses pieds fins, ses jambes impeccablement épilées, seule son entrejambe était masquée par sa culotte mais je pouvais deviner une toison assez fournie, noire comme ses cheveux.
N’ y tenant plus je glissais un doigt sur mon sexe, j’étais trempée, je ne voulais pas la réveiller et je me caressais silencieusement en admirant son corps. J’avais envie d’elle, mais pas comme j’avais envie de Marjorie, c’était différent, j’avais envie de la prendre dans mes bras, de la caresser tendrement, de la cajoler. Je me levais discrètement et pour le prétexte de me caresser, me passais de la crème sur tout le corps, j’étais accroupie en face d’elle, les yeux rivés sur ses seins, sa bouche, son ventre. Je me masturbais doucement, glissant mes doigts entre mes lèvres brûlantes. Soudain elle commença à bouger, et pensant qu’elle ne tarderait pas à se réveiller, je me remis à me tartiner de crème solaire pour me donner une contenance. Je n’avais pas joui et il était manifestement trop tard. Elle venait d’ouvrir les yeux et me sourit.
— J’ai dormi longtemps ?
— Oui assez, mais je n’osais pas te réveiller. (Ce qui n’était pas faux…)
— Quelle heure est-il ?
— 15 heures à peu près, on devrait retourner vers le chalet dans pas trop longtemps.
— Ok, on peut y aller, et elle commença à se rhabiller à mon plus grand regret.
— Il n’y a pas le feu… Je la regardai, la poitrine nue enfiler son short.
— Pfff j’ai pas envie de garder mon soutif, il fait trop chaud !
— Glisse le dans le sac si tu veux.
— Merci ! Et elle passa son T-shirt masquant ses jolis seins.
— Si tu veux on peut passer piquer une tête au passage, ça nous rafraîchira !
— Euh j’ai pas mon maillot.
— Ben tu peux te baigner en culotte, tu sais c’est le même genre de coin qu’ici, il y a jamais personne ! (Sauf deux promeneurs qui m’ont donné beaucoup de plaisir il y a deux jours…)
— Ben on verra.
Je n’avais qu’une envie, voir à nouveau sa poitrine et mon plan me paraissait excellent. Nous nous dirigions vers le bras de rivière et chemin faisant, j’échafaudais un stratagème, une fois arrivée, je me déshabillerai entièrement et ainsi, elle hésiterait peut-être moins. Après une petite heure de marche je la laissais admirer ce paysage et comme prévu en profitais pour quitter tous mes habits et sauter dans l’eau. Un peu moins courageuse, Anne me demanda
— Elle est bonne ?
— Un peu froide, mais c’est tellement agréable. Et elle souleva son T-shirt. J’étais aux anges, je pouvais à nouveau contempler sa poitrine.
— J’arrive, mais tu es sûre qu’il n’y a personne ?
— Attends, je vais voir, pour te rassurer. Et je barbotais un peu plus loin pour lui prouver que l’endroit était désert. Ce qui finit par la convaincre. À ma grande surprise elle enleva aussi sa culotte révélant une toison noire d’ébène et entra dans l’eau timidement.
— Elle est glacée !
— Vas-y franchement, n’hésite pas. Elle plongea, ressortit de l’eau en se frottant les bras.
— Brrrrrrr je suis gelée !
— Nage un peu ça réchauffe ! Et elle suivit mon conseil. Après quelques brasses et se rapprocha de moi.
— Tu as raison c’est fou ce que ça fait du bien !
Moi ce qui me faisais du bien c’était de voir ses tétons dressés par le froid, pointant vers moi, les gouttes d’eau ruisselant sur son visage, son corps. Et encore je ne voyais pas tout. J’aurai donné n’importe quoi pour pouvoir l’embrasser, mais je n’osais pas trahir la confiance qu’elle me vouait. Nous barbotâmes encore un moment et ensuite, nous retournâmes sur le bord.
— Ah, on a pas de serviette, comment on fait ?
— Ben on grignote un peu et le soleil nous sèchera !
— Ok, on s’installe sur les rochers ? Désignant les gros rochers qui surplombaient légèrement la rivière.
— On peut y accéder par là, suis-moi ! Et je commençais à rassembler les affaires.
— Eh, attends on est toutes nues, on va pas se balader comme ça ?
— Y’a juste 5 minutes pour contourner le rocher et on y est ! Et ce n’est même pas un chemin, il n’y aura personne.
— Allez je te suis !
Et nous voilà, marchant à travers les buissons, nues, ruisselantes portant nos affaires. Arrivées devant un petit sursaut rocheux, je proposais à Anne de lui faire la courte-échelle pour l’aider à monter. Elle accepta et j’en profitais pour admirer ses fesses rondes et musclées et apercevoir subrepticement ses grandes lèvres entourées de poils noirs luisants. Elle se retourna pour m’aider et s’accroupissant devant moi m’offrit un cadeau superbe, son sexe était à la hauteur de mon visage et j’avais une vue imprenable sur sa toison soyeuse, distinguant l’ouverture de son trésor.
Arrivées en haut, j’étais excitée comme une puce, Anne remit de la crème sur ses seins et me demanda de lui en passer dans le dos. Ce que je fis avec délices, en la massant légèrement.
— C’est le pied total, continue ! Je ne me fis pas prier et lui massais la nuque, j’adorais le contact de sa peau, le contraste entre ce blanc laiteux et mon hâle cuivré.
— À charge de revanche, répondis-je en rigolant.
— Pas de problème, allonge-toi sur le ventre. Je ne voulais pas rater une telle occasion et je m’allongeais sur la pierre douce et chaude.
— J’y suis, je suis toute à toi ! (et je crois que je pensais vraiment ce que je disais)
— Tu vas voir, je vais te faire un truc dingue ! Et elle étala de la crème solaire sur mon dos, passant même sur mes fesses, le long de mes jambes et commença à me masser les pieds.
— C’est divin, je crois que je suis au paradis !
— Retourne toi, on continue !
— C’est génial, je me sens dans la quatrième dimension ! Et je me retournais, j’étais nue, en face d’Anne qui reprit la crème et à ma grande surprise commença à m’en étaler sur le visage puis descendit sur mes épaules, mes seins, mon ventre, effleurant ma toison minimaliste, mes jambes. C’était merveilleux, ses gestes étaient fermes mais d’une douceur incroyable. Elle finit par me masser les pieds en soulevant mes jambes une à une. Elle devait avoir une vue imprenable sur mon sexe épilé qui devait être suintant de cyprine mais elle ne laissa rien paraître.
— Voilà, tu as eu ta revanche ! Dit-elle en me déposant un baiser sur la joue.
C’était merveilleux, nous étions tellement bien toutes les 2. Je glissais ma main dans la sienne, elle ne dit rien, aussi je l’y laissais. Je ne voulais pas aller trop vite, et risquer de briser cet instant de bonheur. Mais toute bonne chose à une fin, et nous étions obligée de nous remettre en route. Une fois rhabillées, nous bavardions gaiement, je la regardais souvent, admirant ses formes. Je devenais raide dingue de ma copine Anne, je n’osais pas lui reprendre la main ayant peur de brusquer les choses.
Arrivées à la maison, Anne étant sous la douche, j’en profitais pour consulter ma messagerie. Marjorie m’avait envoyé un cliché où je me voyais lécher le talon de la chaussure d’Anne. J’en étais presque honteuse, comme si je l’avais trahie. Je jugeais mes fantasmes incompatibles avec mon attrait pour elle, qui était si pure, si douce.
— Coucou, tu rêves ?
— Hein !
— Ça fait 5 minutes que tu contemples ton mobile ! Ca va ?
— Euh oui, un message étrange c’est tout. Et je le rangeais prestement. Je vais me doucher.
— Ok, je prépare un apéro ?
— Excellente idée ! Et je me sauvais vers la salle de bains.
J’étais émotionnellement submergée, j’ai commencé à pleurer doucement en maudissant mes folies de ces jours derniers. Puis pour masquer mes pleurs j’entrais sous la douche.
Anne préparait l’apéritif quand le téléphone sonna. Comme Fabi le lui avait dit elle pouvait décrocher sans problème et c’est ce qu’elle fit.
— Oui ?
— Ici Marjorie,
— Fabienne est sous la douche pour l’instant, mais je peux prendre un message si vous voulez.
— Vous êtes Anne ?
— Oui, c’est moi
— Fabienne pensait que nous nous étions rencontrées à Lyon, mais je n’en suis pas sûre.
— À vrai dire moi non plus, et on rencontre souvent beaucoup de monde à la Fac.
— C’est certain, vous avez passé une bonne journée ?
— Euh oui. Anne était un peu surprise de la question.
— Je pensais pouvoir faire un saut prochainement et je ne connais pas l’emploi du temps de Fabienne. Mais maintenant que j’y pense, on pourrait lui faire une surprise ?
— Euh pourquoi pas ?
— Je mets ça au point et je vous rappelle, vous avez un portable ?
— Oui. Et Anne lui donna le numéro.
— J’ai été enchanté de faire votre connaissance et je me réjouis de vous rencontrer. À bientôt !
— À bientôt !
— …
Je sortais de la douche un peu calmée et passais une petite robe boutonnée sur le devant. Anne avait préparé un petit en-cas et nous nous sommes installées sur la terrasse. Elle avait une jupe en toile kaki et petit gilet croisé. Elle ne portait pas de chaussures. Après quelques verres la discussion devint un peu plus axée sur nos expériences réciproques et j’avouais à Anne que je la trouvais plus sûre d’elle.
— Tu trouves ?
— Franchement, oui, jamais je n’aurai imaginé que tu quittes tes vêtements pour te baigner.
— Tu étais toute nue toi aussi, je me suis dit qu’après tout ça n’avait rien de gênant que tu me voies nue. En même temps c’était assez agréable comme sensation, d’être nue au milieu de nulle part !
— C’est vrai, on se sent libre !
— Libre, pas tout à fait, moi je me sens épiée, j’ai l’impression que quelqu’un me voit.
— Ah ? (alors que j’avais la même sensation et c’était justement ça qui m’émoustillait) Remarque c’est un peu plus excitant alors ?
— Peut-être…
— Tu sais, l’autre jour j’ai pris un bain de soleil derrière les thuyas, et je me suis déshabillée complètement. C’était vraiment génial de sentir le soleil sur sa peau. Tu devrais essayer !
— Oui, mais toi tu es moins sensible au soleil que moi, j’ai un peu peur de me chopper un coup de soleil carabiné.
— C’est vrai il faut que tu te protèges. (Et je revoyais Anne étalant de la crème sur sa poitrine) D’ailleurs je te suis redevable !
— De quoi ?
— Ton massage de pieds était divin ! Tu veux bien m’apprendre ?
— Euh pourquoi pas ? Tu as de l’huile de massage ?
— Non, malheureusement…
— Ben sinon, on peut prendre de la crème hydratante, le principal c’est que ça glisse !
Et je partis chercher de la crème à la salle de bains. Revenue sur la terrasse, Anne était accroupie et me montra la chaise en face d’elle.
— Assieds-toi. Et fais bien attention ! Elle délassa mes sandales délicatement et mit une noisette de crème dans ses mains puis commença à me masser.
— C’est absolument fou comme sensation ! Où as-tu appris ça ? Ses mains glissaient sur mes pieds et mes jambes, tantôt douces, tantôt fermes.
— C’est Jean, il m’a quand même appris beaucoup de choses.
— Là, je lui décerne une médaille pour t’avoir appris ça !
— Allez maintenant à toi ! On change de place.
Je m’accroupis devant elle et Anne s’installa confortablement, j’étais aux anges, je passais mes mains sur ses pieds et elle me guidait, me disant d’appuyer à tel ou tel endroit. Mes grandes mains me permettaient presque d’enserrer totalement ses chevilles délicates et elle semblait apprécier mes caresses. Elle fermait les yeux et se laissait aller. Soudain je repensais à la position qu’elle avait adoptée sur le rocher et essayais de faire de même. Je lui soulevais donc doucement un pied et tentais de voir plus loin. Pour me faciliter la tâche, elle écarta légèrement les jambes comme je l’avais fait plus tôt et je voyais maintenant sa culotte.
Ses soupirs me rassuraient, elle avait l’air absent, elle s’abandonnait à mes massages. Je m’arrangeais pour que la pointe de ses orteils frôle mes seins en plaçant ses pieds presque contre mon ventre. Je déposai un baiser sur le dessus de son pied et le reposais pour prendre l’autre jambe et recommencer le même manège. J’aimais tellement lui faire plaisir et je ne doutais plus de son bien-être. Ouvrant les yeux, elle me demanda de reprendre ma place dans le fauteuil et se plaça devant moi.
— Tu te débrouilles très bien, à moi maintenant ! Et elle me massa doucement les mollets pour remonter vers mes cuisses. Ma robe la gênait.
— Attends je suis mal installée. Et je soulevais ma robe, m’asseyant sur directement dans le fauteuil. Le contact du bois sur mes fesses était doux et chaud. Je n’avais pas de string mais Anne ne paraissait pas choquée.
— C’est mieux comme ça, maintenant détends-toi… Laisse-toi faire.
Elle massait mes jambes et mes pieds, le délassement était total. Tant de douceur, de tendresse, je baissais les yeux et la voyait absorbée, concentrée. Parfois le bout de ses doigts arrivait presque au niveau de mon sexe, je ne sais pas si c’était intentionnel mais je mouillais sérieusement. Anne m’écarta doucement les jambes pour se placer entre elles. Elle me massa le ventre, partant de mes pieds ses mouvements étaient d’une lenteur exquise et m’envoyaient loin, loin dans les nuages.
Il faisait nuit, nous étions bien et je décidais de lui faciliter la tâche en déboutonnant ma robe. Anne écarta les pans de ma robe découvrant mes seins qui pointaient. Elle repris ses caresses montant jusqu’à ma poitrine, effleurant mes seins du bout des doigts. Je soupirais d’aise. Parfois elle passait son pouce sur mon mont de Vénus avec une infinie douceur. Elle ne pouvait plus ignorer mon état, le visage à quelques centimètres de mon corps. La nuit l’empêchait peut-être de constater que ma chatte était trempée mais je suis sûre qu’elle s’en doutait. Son corps entier touchait le mien je sentais la chaleur de sa poitrine contre mes jambes, mon ventre. Soudain, elle se leva.
— Ne bouge pas,
— J’en serai bien incapable ! Une fois redressée, elle défit son gilet croisé révélant ses seins pâles et entrepris de me caresser les jambes avec sa poitrine. Elle embrassa doucement mes jambes, en remontant elle me caressait maintenant avec sa bouche, ses seins et ses mains.
— C’est bon Anne.
— Je sais, je le vois. Répondit-elle avec un sourire et elle m’embrassa les seins tendrement avant de se redresser.
Elle me regardait, debout, la poitrine nue en me souriant. Elle me laissait atterrir.
— Il fait un peu froid, on rentre ?
— Euh, oui, bien sûr. Je ne savais pas trop comment réagir, étais-ce une proposition ou non ? Mais elle repassa son gilet, ne me laissant pas trop d’espoir sur l’avenir de cette soirée. Devinant ma déception elle me rassura.
— Tu sais c’était vraiment merveilleux, j’ai beaucoup aimé te caresser et j’ai l’impression que tu as aimé aussi.
— Oui, tu es tellement tendre.
— Jean m’a appris pas mal de choses, tu vois finalement je prends le bon côté des choses.
— C’est lui qui t’a appris tout ça ? Je m’installais dans le canapé et elle vint s’asseoir à côté de moi.
— Plus ou moins, il m’a surtout appris à me laisser aller et à faire ce qui me plaît.
— Dis-moi, c’est la première fois que tu caresses une femme ?
— Oui, je n’avais pensé à ça avant, mais je crois que j’aime donner du plaisir, même si ce n’est pas sexuel.
— C’est réussi, jamais je n’ai passé un tel moment. Tu as vraiment change, jamais je n’aurais imaginé que tu poserai un baiser sur mes seins… aussi … naturellement.
— Je ne me reconnais pas moi-même, c’est pour ça que je ne veux pas brusquer les choses.
Nous discutâmes encore un bon moment puis Anne me dit qu’elle avait besoin de se reposer, nous nous levâmes. J’étais devant elle, la robe déboutonnée laissant voir mon corps, elle s’avança vers moi et déposa un doux baiser sur mes lèvres avant de monter. Et de rentrer dans sa chambre.
Je montais moi aussi totalement détendue et ne tardais pas à m’endormir. Je me réveillais tôt le matin, j’avais rêvé de Marjorie, j’étais debout, nue, au milieu de son magasin, elle était en face sur moi et fixait des pinces sur mes tétons, ça faisait un mal de chien, elle les vissait toujours plus, je la suppliais d’arrêter, tombant à genou devant elle. La douleur me réveilla en sursaut, la main sur un sein. J’avais du me pincer durant mon rêve, je n’osais pas regarder sur la table de nuit où Anne avait laissé la pince qu’elle avait trouvée parterre. Je savais pertinemment que je ne pourrai résister. Je descendis aux toilettes, puis passais mon visage sous l’eau froide. En remontant je pris mon téléphone, des messages avaient été laissés.
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